N'y vois STP aucun
jugement, Marie, juste un
sentiment à te lire.

Tu fais comme tu peux et ce n'est pas facile !
Je crois que c'est peine perdue de vouloir qu'un enfant s'adapte... si l'exemple qu'il a sous les yeux - un parent- n'en fait pas l'effort lui-même et refuse de se remettre en question : et oui je crois que dans certains cas ce serait plutôt le parent qui aurait besoin d'"aide"

(mais que c'est difficile de le faire admettre à quelqu'un de son entourage, je le
sais, que ce soit pour excès de faiblesse comme excès d'autorité)
Il me parait dommage que ces rapports tendus "gâchent" à ce point ce temps d'enfance qui est à la fois si long pour l'enfant... et si court pour le parent. Je me demande tout de même si l'image que le père semble vouloir faire "coller" est si proche de la "normalité" : désolée mais un enfant n'a donc pas le droit de pleurer, pourquoi le blesser et en rajouter ?
Ce que tu décris, vu d'ici, semble un enfant constamment "nié" et rabroué par un parent, pas étonnant dans ce cas qu'il cherche à fusionner avec l'autre - tenter d'y trouver réconfort et consolation. Vos attitudes semblent extrêmes... et opposées - et
non concertées - je pense que cela peut être déstabilisant.
Je suis désolée pour ton ainé, et je me doute que l'inquiétude générée par ces 2 enfants malades n'est pas faite pour retrouver la sérénité.
Je croise les doigts pour que son affection reste contrôlée ainsi

et t'envoie une brassée de courage
Je me suis demandée si au niveau médical, des tests d'immunité (et pas seulement d'allergie) avaient été pratiqués : il arrive qu'une personne puisse avoir une déficience dans son système immunitaire par ex. dans la synthèse de certaines immunoglobulines, ou de médiateurs intercellulaires(tu dois voir de quoi je parle

) - qui peuvent produire de tels symptômes.